11 février 2014
Mort de Dieu, mort de l'homme
Ce qui advient à l'existence sans raison n'a pas de raison d'exister. La "mort de Dieu" ne serait pas une lourde perte si elle n'avait pour conséquence inévitable la réduction de l'existence humaine à une contingence, c'est-à-dire, à peu près, à néant....