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22 décembre 2010

Pensées diverses 15

On rit de ce qui devrait faire pleurer. On en rit parce qu'on ne se rend pas compte que le malheur qui nous fait rire pourrait très bien être le nôtre. Quand on s'en rend compte, on continue heureusement à rire, mais plus de la même chose, plus du malheur des autres : on rit de ceux qui en rient !

 *

La persévérance paie toujours... mais pas tout de suite, sinon il n'y aurait pas lieu de persévérer ! Il faut comprendre que les tentatives qui n'aboutissent pas préparent celle qui aboutira, que l'échec apparent n'est pas un échec mais un succès partiel. Le mot échec n'a de sens que si on renonce, et c'est parce qu'on renonce qu'on échoue. Il n'y a pas de perdants, il n'y a que des découragés.

 *

Jadis, on parcourait le monde sur les ailes de l'imagination. L'avion lui a rogné les ailes. On n'imagine plus un pays lointain, on y va. On croit avoir gagné au change, mais on y a perdu. Car qu'est-ce qu'un pays qu'on se borne à voir ? Des... vues, c'est-à-dire des images. La réalité ne se voit pas, elle s'imagine. Seuls voyagent vraiment ceux qui ont d'abord rêvé leur voyage. Les autres font semblant de voyager.

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Commentaires
M
Je voyage beaucoup moi alors avec mon imagination débordante et mon aversion des avions. <br /> Je dois dire qu'à chaque fois que je suis allée voir quelquechose de très très connu, j'ai été très très déçue, cela ne correspondaient en rien à ce que j'avais rêvé.
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